01/03/2021

je ne sais plus par où commencer. 

ni où finir.

la vérité est que je ne serais, jamais, plus que cela. plus que rien. plus que la pluie que on attende sur le désert. 

le désert que s' étire sur ma peau, dans mes yeux, dedans ma tristesse. ma tristesse est indélébile, proche d' infini, cristallisé par dedans mes mains, par dedans mon corps, pleinement propriétaire de mon âme. 

je sais que je suis en trains de finir. il n'y a aucun chemin pour choisir maintenant. ça c'est ce qu'il y a pour mon désire... un désért sans fin.


Sem comentários:

Enviar um comentário